Interview de Dominique Tchimbakala, Présidente de l'Union-ALFM, réélue le 17 octobre 2020
Que retenez-vous de votre premier mandat ? Quels ont été les grands moments de ces deux années ?
Eh bien ce furent deux années intenses ! J'ai un peu l'impression que nous avons travaillé en mode "commando" mais finalement, nous avons atteint nos objectifs. Pour donner un peu une idée de ce travail, je dirais que ce sont deux années durant lesquelles nous avons semé : nous héritions d'une association qu'il fallait remettre en ordre de marche, professionnaliser, commencer à autonomiser en trouvant de nouveaux partenaires... Créer déjà un événement professionnel pour se mettre au service de notre communauté (pour la plupart de jeunes trentenaires)... Nous sommes parvenus à réaliser tout cela... En tout cas, nous avons bien commencé. Si je ne devais retenir que deux grands moments, je parlerais du Forum Professionnel de 2019, le premier événement organisé par l'Union-ALFM et puis la signature de la convention avec l'AEFE qui nous rend désormais propriétaire de la plateforme www.alfm.fr qui réunit plus de 8 000 membres de notre communauté d'anciens élèves, qui - je l'espère - souhaiteront désormais adhérer à l'association.
Qu'est ce qui vous a poussé à vous représenter ?
Sans doute un peu de masochisme... (rires). Plus sérieusement, présider cette association, c'est évidemment du temps et de l'énergie mais c'est très enthousiasmant ! Deux ans de mandat c'est court pour réaliser des projets à moyen et long termes. Je m'étais fixé comme objectifs de doter l'association d'une structure professionnelle et de contribuer à la rendre financièrement autonome, notamment en allant chercher des partenaires privés. Nous sommes engagés sur ce chemin, nous avons signé plusieurs engagements et nous souhaitons atteindre cet objectif en janvier 2023. J'ai pensé que ne pas me représenter aurait été laisser à mon successeur un immense chantier inachevé.
Quelles sont les grandes impulsions vous souhaitez donner à l'Union-ALFM pour les années à venir ?
Si je devais les donner en trois points, je dirais : renforcer davantage le lien entre les associations locales et l'association mondiale des anciens. Continuer à organiser chaque année un Forum professionnel qui devienne, je le souhaite, une référence pour les entreprises souhaitant recruter des profils internationaux et enfin rendre l'association financièrement autonome. Quatre années ne suffiront pas à tout faire et à transformer complètement l'Union-ALFM, mais j'espère qu'on aura accompli au moins la moitié du chemin.
Interview réalisée par Yasmina El Kouhen, rédactrice volontaire, membre de l'Union-ALFM
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